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FLEURY-JOSEPH CREPIN

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Fleury-Joseph Crépin (néàHénin-Liétard, Pas-de-Calais, en 1875– mort àMontigny-en-Gohelle, Pas-de-Calais, en 1948) est un peintrefrançais d'art brut. Il est rattaché au groupe dit des médiumniques.

Il est plombier-zingueur et quincaillier. Il compose aussi des partitions pour fanfare. Se prétendant guérisseur, il se rapproche du mouvement spiriteà partir de 1930 et rencontre Victor Simon et Augustin Lesage. Au milieu de l’année 1939, Crépin déclare entendre des voix lui disant : « Quand tu auras peint 300 tableaux, ce jour-là la guerre finira. Après la guerre, tu feras 45 tableaux merveilleux et le monde sera pacifié. » Crépin achève sa 300e toile en mai1945 et commence la série des tableaux merveilleux en 1947. À sa mort, en 1948, deux tableaux merveilleux sont restés inachevés...

Les tableaux de Crépin sont caractérisés par leur symétrie et l’utilisation de motifs perlés. Il dépose sur la toile des centaines de gouttelettes de couleur. Ses tableaux représentent généralement des architectures de palais et de temples, ainsi que des figures humaines et animales stylisées. Ses représentations semblent généralement s'inspirer de la peinture indienne.

1939

D'après Wikipédia

 


FLEURY-JOSEPH CREPIN - QUELQUES OEUVRES

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1939 n50

1939 - N° 50

1939

1939 - N° 19

1940 n83

1940 - N° 83

1940 n88

1940 - N° 88

1940 n103

1940 - N° 103

1940 n110

1940 - N° 110

1941 n118

1941 - N° 118

1944 n247

1944 - N° 247

1945 n310

1945 - N° 310

1946 merveilleux n11

1946 - Tableau merveilleux n° 11

 

LYNNE BERNBAUM

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lynne bernbaum

Lynne Bernbaum explore la géométrie au sein de la nature, et la nature de la géométrie elle-même au sein des beaux-arts, trouvant son inspiration dans tout ce qui l'entoure sur l'archipel caraïbe d'Anguilla, où elle vit depuis plusieurs années, mais aussi dans sa puissante imagination.

On trouve dans ses oeuvres un étonnant contraste entre l'aspect droit, contrôlé, parfois sombre, et des motifs joyeux qui semblent s'assembler entre eux comme les pièces d'un puzzle élégant. Elle travaille l'huile et l'aquarelle.

Originaire de Dallas, Texas (USA), elle débuta comme architecte paysagiste, diplômée de l'Université de l'Arizona en 1978. En 1983, elle passe à l'illustration architecturale, où elle développe davantage son graphisme ; elle travaille à San Diego, Chicago, San Francisco. En 1988, elle découvre les Caraïbes et se tourne vers l'art proprement dit, reprenant des cours à l'Art Student League de New York, à l'Université de Californie et au Laney College.

2008 market chormatica 45

Elle a participéà une douzaine de grandes expositions, et expose dans diverses galeries à travers le monde, ainsi qu'Anguilla, bien évidememnt.

Merci à Cat Novak de m'avoir fait découvrir cette artiste.

 

ORIENTALISME

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L'orientalisme est un courant littéraire et artistique occidental du XIXe siècle.

ingres

Ingres

Il existe cependant un orientalisme humaniste qui remonte à la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance, lorsque les explorations commencèrent, et qui atteint son apogée avec les turqueries et le goût oriental du XVIIIe siècle baroque puis rococo. Ce goût oriental hérite aussi du contact de l'époque des Croisades avec le monde islamique. Mais le plus grand mouvement est celui du XIXe siècle. Il marque l'intérêt de cette époque pour les cultures d'Afrique du Nord, turque et arabe, et toutes les régions dominées par l'Empire ottoman, jusqu'au CaucaseL'art orientaliste classique ne correspond à aucun style particulier et rassemble des artistes aux œuvres et aux personnalités aussi différentes et opposées qu'Ingres, Eugène DelacroixHorace Vernet, Théodore Chassériau, Jean-Léon Gérôme,  jusqu'àAuguste Renoir (avec son Odalisque de 1884). C'est donc plutôt un thème vaste qui parcourt les différents mouvements picturaux de cette période.

Cet attrait pour l'ailleurs, la recherche de l'exotisme, influencent profondément la société de l'époque. Les salons de la bourgeoisie et de la noblesse donnent réceptions et bals costumés sur le modèle fantastique et coloré des cours d'Orient. Certains personnages fortunés prennent la pose, pour faire leur portrait, revêtus des habits soyeux seyants à un émir.

L'orientalisme moderne est le prolongement de l'orientalisme dit classique, et prend sa source vers les années 1905/1910. Il trouve son plein épanouissement après la Première Guerre mondiale pour se prolonger jusqu'en 1960. Outre cette école, des peintres contemporains des années 1910-1970 ont brillamment repris et continué le motif orientaliste, paysages, nature, scènes de genre, tels Henri Pontoy (1888-1968), Jacques Majorelle (1886-1962), Paul Elie Dubois (1886-1949), Edy Legrand (1892-1970) jusque Gustave Hervigo (1896-1993).

Après le démantèlement de l'Empire français et l'indépendance de l'Algérie, il n'y a plus à proprement parler d'École orientaliste, mais des peintres d'inspiration orientaliste, tels que les Français Jean-François Arrigoni-Neri (né en 1937), Roman Lazarev, (né en 1938), ou Patrice Laurioz né en 1959, et l'Algérien Hocine Ziani (né en 1953) tout comme les Marocains Ahmed Balili (né en 1955) ou Abdelkrim Belamine (né en 1964). L'orientalisme du XXIe siècle « appartient » désormais à ses inspirateurs, artistes en majorité originaires du Maghreb et plus précisément du Maroc.

delacroix

Delacroix

Les thèmes

Le harem : A cette époque, la représentation picturale de la nudité est choquante si elle n’est pas justifiée. Or, le harem se veut être l'expression d'un ailleurs inconnu. Les mœurs y sont différentes et certaines pratiques tolérées (telles que l'esclavage, la polygamie, le bain public, etc.). Cette tolérance entraîne en Europe un phénomène de fascination/répulsion pour le harem (ou sérail), lieu de despotisme (sexuel) par excellence du sultan. Le harem, si éloigné des mœurs et de la culture européennes de l'époque fait l'objet de nombreuses interrogations, mais aussi de nombreux fantasmes. Les harems rêvés/fantasmés/imaginés sont souvent peuplés d'odalisques lascivement alanguies, offertes, dans les vapeurs du bain...

L'Orient exotique : La plupart de ces peintures nous dépeignent un orient entre réalité et imaginaire. Tous les artistes ayant, à cette époque, représenté l'Orient n'ont pas obligatoirement voyagé dans les pays du Moyen-Orient. Cependant, la majorité des peintres orientalistes ont entrepris de longs voyages dans les pays du Maghreb pour en rapporter de nombreux carnets de croquis. Croquis dont ils se servirent pour la composition de leurs peintures une fois revenus au pays.

Le désert : Celui du Sahara a été largement représenté par les orientalistes français. Il sert de décor à des scènes historiques, à la représentation de longues caravanes, ou en est le motif principal. La représentation des tempêtes de sable et les conséquences de la chaleur peuvent en faire un motif dramatique.

D'après Wikipédia

 

LYNNE BERNBAUM - QUELQUES OEUVRES

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1995 sans titre

1995 - sans titre

2006 cactus field 14

2006 - Cactus field 14

2006 domino day

2006 - Domino day

2008 market chormatica 45

2008 - Market chromatica 45

2008 oasis 11

2008 - Oasis 11

2009 sans titre

2009 - Sans titre

2010 paint paint 16

2010 - Paint Paint 16

2010 petit marché couleur 7

2010 - Petit marché couleur 7

2010 sans titre

2010 - Sans titre

2014 invite perspective in perspective

2014 - Invite perspective in perspective

 

DIEGO RIVERA

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Diego Rivera, né le 8décembre1886àGuanajuato (Mexique) et mort le 24novembre1957àSan Ángel, un quartier aisé de Mexico, est un peintremexicain connu pour ses fresques murales, principalement dans les bâtiments officiels du centre historique de Mexico. Ses premiers tableaux sont d'inspiration cubiste, puis reviennent à la figuration.

Il a un frère jumeau, Carlos, qui meurt à deux ans. Dès cette époque, Diego commence à dessiner. En 1893, la famille Rivera déménage à Mexico.

Il entre en 1898à l'Ecole Nationale des Beaux-Arts de San Carlos, contre l'avis de son père qui lui aurait préféré une école militaire. En 1905 il sort diplômé ; il reçoit de Teodoro Dehesa, alors gouverneur de l'État de Veracruz et pilier du gouvernement de Porfirio Díaz une bourse lui permettant d'aller étudier en Europe.

Il se rend d'abord àMadrid en 1907. En mars 1909, ce sera Paris, puis quelques semaines après il fait un tour de l'Europe du Nord, visite Bruges et les Pays-Bas ainsi que Londres. Il rencontre en 1909, lors d'un voyage à Bruxelles, la peintre russe Angelina Beloff, qu'il épouse et avec laquelle il visite la Bretagne.

1935 transport de fleurs

Il retourne au Mexique en 1910 pour assister aux festivités du centenaire du début de la guerre d'indépendance. Le 20 novembre 1910, Carmelita Díaz, épouse du président Díaz, inaugure une exposition d'œuvres de Diego Rivera et lui achète six tableaux destinés à sa collection personnelle ; l'État mexicain en acquiert sept.

La révolte s'étend dans le pays, et après la prise de Ciudad Juárez par les troupes de Francisco Madero, le président Diaz part en exil en mai 1911, espérant ainsi éviter une guerre civile au pays. Rivera, lui, a quitté le pays pour Paris en avril 1911.

Il voyage en Catalogne, visite Tolède et Madrid accompagné de son épouse.

En 1913 le régime de Madero est renversé par Victoriano Huerta. Rivera lui s'installe àMontparnasse, où il se lie d'amitié avec Modigliani. Mais le gouvernement mexicain en pleine guerre civile ne lui verse plus sa bourse. En 1916, Angelina lui donne un fils, Miguel, qui mourra à quatorze mois.

1953 portrait de dona elena flores carrillo

Rivera entame une liaison avec l'artiste russe Marie Vorobieff, qui durera six ans. Il a aussi plusieurs autres enfants de maîtresses avec lesquelles il entretient de brèves relations. Il n'assume toutefois jamais ses paternités.

Ses œuvres sont exposées à la Modern Gallery de New York avec celles de Picasso, Van Gogh et Cézanne.

Le Mexique connaît alors une des phases les plus violentes de la guerre civile qui oppose les factions révolutionnaires. Appauvri, Rivera doit exécuter des portraits de commande.

En 1919 le gouvernement constitutionaliste de Venustiano Carranza invite Rivera à rentrer au Mexique ; il lui octroie aussi une subvention qui lui permet d'aller étudier des fresques en Italie, mais la violence continue au Mexique ; Emiliano Zapata est assassiné cette même année sur ordre de Carranza, qui le sera lui-même l'année suivante sur ordre d'un autre révolutionnaire, Alvaro Obregón.

Au début des années 1920, une fois la révolution mexicaine terminée, Rivera retourne au Mexique où il s'intéresse à l'extrême-gauche. Il réalise sa première peinture murale où figurent des sujets ethniques mexicains dans un contexte politique de gauche nationaliste. Il divorce d'Angelina en 1921.

Rivera peint beaucoup, souvent pour attaquer l'Église et le clergé, sur commande des gouvernements post-révolutionnaires, dont il devient peu à peu un des peintres officiels. Il commence à s'essayer aux fresques, sur de grands murs, dans un style simplifié et en employant des couleurs vives en phase avec les thèmes de la révolution de 1910 ou de la guerre civile des années 1911-1920.

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Ses fresques commandées par le gouvernement les plus emblématiques se trouvent au palais nationalà Mexico, où il peint notamment sa fameuse Épopée du peuple mexicain entre 1929 et 1935, et à l'école nationale d'agriculture àChapingo. Rivera en peint plusieurs aux États-Unis, qu'il visite au début des années 1930 et aussi en 1940, privilégiant surtout les thèmes industriels. Sa plus célèbre fresque se trouve à l'institut des arts de Détroit.

Après plusieurs mariages et aventures amoureuses, il est présentéàFrida Kahlo, une militante communiste et peintre jouissant d'une certaine cote. À l'automne 1927, il se rend àMoscou pour la célébration des dix ans de la Révolution d'Octobre. Il en est expulsé l'année suivante pour activités antisoviétiques. De retour à Mexico, il est exclu du parti communiste mexicain (1929).

Il épouse en 1929, à 43 ans, Frida, de 21 ans sa cadette. Il divorcera en 1939 pour se remarier avec elle un an plus tard.

En 1933, sa fresque Man at the Crossroads (l'homme à la croisée des chemins) pour le Rockefeller Center de New York est détruite, car elle contient un portrait de Lénine. Après ce scandale médiatique, une commission annule une commande prévue pour la Foire Internationale de Chicago.

Ayant rejoint la section mexicaine de la IVe Internationale, il sympathise avec l'exilé soviétique Léon Trotski, qui habite chez luià partir de janvier 1937. Mais ils ont un différend car sa femme Frida a une brève liaison avec Trotski qui doit alors quitter le domicile de Rivera en 1939. Trotski est assassiné le 21 août 1940.

Frida Kahlo meurt d'une pneumonie en 1954.

Rivera est l'un des membres fondateurs du Colegio Nacional en 1943.

Atteint d'une forme rare de cancer, il meurt en 1957.

D'après Wikipédia

 

ART INFORMEL

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On regroupe sous l'expression Art Informel les tendances abstraites et gestuelles qui se sont manifestées en Europe, plus particulièrement en France, en Catalogne, en Italie, en Allemagne et au Benelux dans la période de l'après-guerre (1945-1960) :

  • l'abstraction lyrique, qui résulte de diverses techniques signo-gestuelles avec sa composante initiale principale, le tachisme. À cette tendance seront notamment associées aussi les principaux artistes non figuratifs de la nouvelle école de Paris,
  • le matiérisme qui explore plusieurs procédés de traitement de la surface de la toile,
  • par association, le spatialisme, qui inclut les dimensions de l'espace-temps et de la lumière.

Les groupes CoBra et Gutai peuvent lui être associés.

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Jimenez Balaguer

L'art informel trouve des équivalents en Amérique, notamment avec la tendance de l'expressionnisme abstrait représentée par l'Action Painting, ainsi qu'en Argentine.

Concept

Dans la démarche d'art informel, l'artiste laisse toute libertéàl'imprévu des matières (goût pour la tache et l’accident) et àl'aléatoire du geste, refusant le dessin et la maîtrise ainsi que la conception traditionnelle de la peinture et de son cheminement qui mène de l'idée à l'œuvre finie, en passant par les ébauches et les esquisses ; c'est une œuvre ouverte que le spectateur peut lire librement. L’aventure picturale est totalement neuve : au lieu de partir d'un sens pour construire des signes, l'artiste commence par la fabrication de signes et en donne ensuite le sens — l'aide de la musique ayant produit l'art informel musical.

Caractéristiques plastiques : spontanéité du geste, emploi expressif de la matière, aucune idée préconçue, l'expérience du vécu fait naître l'idée, l'œuvre est le lieu et le moment privilégié où l'artiste se découvre ; c'est la fin de la reproduction de l'objet pour la représentation du sujet qui devient la finalité de la peinture, avec un aspect parfois calligraphique (Georges Mathieu, Hans Hartung).

Contexte

À Paris, sous l'Occupation, il apparaît à de nombreux artistes, qu'il n'est plus possible de représenter la réalité de manière explicite. Guerre, désarroi, doute, absurdité, manque total de grands projets… Alors, pour quelles causes s'engager ? S'engager pour sa propre vérité. C'est la puissance de l'expérimentation. Ces artistes développent une esthétique abstraite ou « informelle » pour traduire leurs sentiments et impressions, leur propre expressivité. De ces expériences naîtront plusieurs tendances. Plusieurs appellations, qui interfèrent entre elles, ont été données à la pratique et au regroupement de ces artistes.

Dès la Libération de Paris mi-1944, se tiennent de nombreuses expositions des artistes de cette nouvelle tendance, d'abord dans des galeries d'art privées, telles la galerie Jeanne Bucher avec Nicolas de Staël en 1944, la galerie René Drouin avec Jean Dubuffet en 1944, Jean Le Moal, Gustave Singier, Alfred Manessier, Tal-Coat et Jean Fautrier en 1945, la galerie Louise Leiris avec André Masson en 1945, la galerie Rive Gauche avec Henri Michaux en 1946 ou encore la galerie Conti avec Pierre Soulages et Gérard Schneider en 1947 ; puis dans les salons de peinture, tels le Salon des Surindépendants, où l'on peut voir Wols et Bryen dès 1945 ; le Salon de Mai, créé en 1943 ou le Salon des réalités nouvelles, créé en 1946.

Etats-Unis

Aux États-Unis, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, les conditions économiques, politiques et artistiques suscitent une nouvelle manière de peindre, de voir et de donner à voir :

  • l’économie est florissante ;
  • les artistes européens exilés durant la guerre ont permis aux artistes américains de s'approprier les principes et pratiques de l’avant-garde ;
  • enfin, avec le début de la guerre froide, la peinture américaine représente une arme culturelle exportable.

L’expressionnisme abstrait s’impose avec une nouvelle génération d’artistes vivant à New York : le mouvement Action Painting est principalement incarné par Pollock ; on met également au point, en 1947, la technique du Dripping (De Kooningà partir de 1952 ou Franz Kline). Le Colorfield Painting (champs colorés) désigne la peinture de Mark Rothko depuis 1946, de Clyfford Still, vers 1946, ou de Barnett Newman, à partir de 1948.

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Jackson Pollock

L'Abstraction Lyrique

L’expression Abstraction Lyrique est employée pour la première fois par Jean José Marchand et le peintre Georges Mathieu lors de l'exposition organisée en décembre 1947à la galerie du Luxembourg avec Wols, Bryen, Hartung, Mathieu, Riopelle, Atlan, Ubac, Arp, exposition à laquelle Mathieu voulait donner le titre Vers l’abstraction lyrique, mais auquel la directrice de la galerie préféra L'imaginaire. Cette exposition sera suivie, en 1948, de HWPSMTB chez Colette Allendy (HWPSMTB pour Hartung, Wols, Picabia, Stahly, Mathieu, Tapié, Bryen). L'exposition White & Black de la galerie des Deux-Îles présentera également Tobey en 1948. L'abstraction lyrique regroupe à l'origine des artistes qui évoluent vers le langage abstrait, suivant une écriture gestuelle, qui, dès avant la guerre, s'était glissée entre l'esprit dada et l'esprit surréaliste chez Hans Hartung (1922) et Camille Bryen (1936), puis qui débouche pendant (Wols) et après celle-ci sur de nouveaux procédés de liberté plastique, allant de la projection linéaire des couleurs sur la toile jusqu'à leur brossage plus ou moins ample, notamment chez Georges Mathieu, Jean-Paul Riopelle, André Masson, Nicolas de Staël, Pierre Soulages, Jean Messagier, Gérard Schneider, Jean Degottex, Zao Wou-Ki, Simon Hantaï, Tal-Coat ou Olivier Debré.

Par extension, on associa à l'Abstraction Lyrique certains des principaux artistes de la tendance non figurative de la nouvelle Ecole de Paris, tels que Jean Bazaine, Alfred Manessier ou Jean Le Moal. Certains d'entre eux évoluèrent en effet vers un style plus « lyrique », au même titre que certains artistes du mouvement de la Jeune Peinture belge fondé en 1945 avec Louis Van Lint, etc.

Le Tachisme 

Le terme « tachisme », qui est d'abord employé péjorativement par le critique Pierre Guéguen en 1951, est réutilisé en 1952 sur l'initiative du critique Michel Tapié dans son ouvrage Un art autre pour désigner un des aspects de l'art informel, qui correspond aux techniques gestuelles équivalentes à celles apparues, à partir de 1946, chez Jackson Pollock, au sein de l'expressionnisme abstrait, et qui seront qualifiées d'« action painting » par le critique américain Harold Rosenberg en 1952. Ce terme est également utilisé, en 1954, par le critique Charles Estienne, pour définir notamment le travail de Hartung, Riopelle, Messagier et Soulages, puis dans son ouvrage L'Art à Paris 1945-1966. Parallèlement, l'œuvre de Pollock est exposée au Studio Fracchetti en 1952, année où de nombreux autres artistes américains de l'expressionnisme abstrait sont également présentés en France avec l'exposition collective Regards sur la peinture américaine tenue à la Galerie de France, et qui réunit De Kooning, Gorky, Gottlieb, Guston, Hofmann, Kline, Motherwell, Pollock, Reinhardt, Tobey, etc.

Le matiérisme

Dès 1948Antoni Tàpies fonde àBarcelone le groupe Dau al Set (« Dé sur le sept »), avec le poète et plasticien Joan Brossa, au sein duquel il expose ses premières œuvres Pintura y Encolado. Puis il utilise l'expression "pintura matérica" (peinture matiérique ou « matiérisme »), dont les caractéristiques ont été initiées dès 1944 par Jean Fautrier et Jean Dubuffet, et qui trouvent même des prémices chez Antoine Pevsner ou Paul Klee avant eux. Le matiériste amalgame des médiums variés et des éléments non picturaux à ses hautes pâtes ; par ailleurs, l'inscription des signes et graphes renvoie à l'automatisme surréaliste ou à une inspiration extrême-orientale.

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Franz Kline

L'Art Informel

La formule est donnée définitivement en 1951 par le critique d'art Michel Tapié lors de l'exposition Véhémences confrontées tenue en mars à la galerie Nina Dausset sur le thème Tendances extrêmes de la peinture non figurative et qui réunit Bryen, Capogrossi, De Kooning, Hartung, Mathieu, Pollock, Riopelle, Russel et Wols. L'expression est notamment employée à propos de ce dernier, qui est à l'origine du mouvement de l'abstraction lyrique, puis, surtout, à l'égard de Fautrier et de Dubuffet. Ceux-ci sont en effet présentés en novembre 1951 au Studio Fracchetti à l'exposition Signifiants de l'informel I, qui réunit également Michaux, Mathieu, Riopelle et Serpan et qui sera renouvelée l'année suivante. Mais, le terme est utilisé, pour la première fois, en 1950, par Antoni Tàpies lorsqu'il parle justement de « signifiants de l'informel » dans la nouvelle peinture, de sorte qu'il s’appuie d'abord plus particulièrement sur la tendance matiériste, plus radicale de l'art non figuratif d'après-guerre propre à ces derniers artistes. À cette tendance, on peut à la même époque rattacher, à partir de 1949, la peinture de Lucio Fontana qui fonde, en 1950, le spatialisme, mouvement qu'il a théorisé dès 1946 ou, à partir de 1948, l'œuvre d'Alberto Burri, fondateur en 1950 du groupe Origine.

L'expression « art informel » caractérise finalement les pratiques picturales abstraites de l'après-guerre en Europe qui font pendant à l'expressionnisme abstrait américain.

D'après Wikipédia

 

DIEGO RIVERA - QUELQUES OEUVRES

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1909 el picador

1909 - El Picador

1911 paysage

1911 - Paysage

1914 deux femmes

1914 - Deux femmes

1935 transport de fleurs

1935 - Transport de fleurs

1941 vendeuse de fleurs

1941 - Vendeuse de fleurs

1944 nu aux arums

1944 - Nu aux arums

1953 portrait de dona elena flores carrillo

1953 - Portrait de Dona Elena Flores Carrillo

Fresques murales :

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MARIO CEROLI

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Il est né le 17 mai 1938 à Castel Frentano, Italie. C'est un sculpteur et scénographe italien.

Forméà l'Académie des Beaux-Arts de Rome, il s'est d'abord lancé dans la reproduction de sculptures en céramique. Influencé par le pop art, il réalise ses premières créations, en bois, épurées, et se rapproche peu à peu de l'Arte Povera, groupe qu'il intègre en 1967.

1984 uomo galleggiante

 

MARIO CEROLI - QUELQUES OEUVRES

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1965 goldfinger miss

1965 - Goldfinger - miss

1966 la cina

1966 - La Chine

1967 uomo vitruviano

1967 - L'homme de Vitruve

1968 l'escalier

1968 - L'escalier

1984 uomo galleggiante

1984 - Homme flottant

1990 cavallo alato

1990 - Cheval ailé

1992 la vague

1992 - La vague

1992 toile de penelope

1992 - Toile de Pénélope

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Bibliothèque pour Maurizio Calvesi, Rome

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SURREALISME

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Le mouvement surréaliste date de 1924, juste après la première guerre mondiale, année lors de laquelle André Breton publia son Manifeste du Surréalisme. Cette école a pour particularité de faire appel avant tout au rêve, à l’imaginaire, à la folie et à l’inconscient de chacun. La plupart du temps, un tableau surréaliste est une toile généralement figurative traduisant un rêve de son auteur, rompant ainsi avec le conformisme, pictural ou littéraire, pour libérer le langage de toutes les entraves de la morale ou de la conscience. Ce mouvement artistique lutte de ce fait contre les valeurs reçues, libérant l’artiste du contrôle de la raison : rien ne doit être calculé.

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Max Ernst

Ce mouvement a d’abord touché les écrivains et poètes (Breton, Aragon, Eluard), avant de rallier cinéastes, photographes et peintres, tels Magritte, Ernst, Masson et Dali. À travers une exploration de l’inconscient et l’interprétation des rêves, les surréalistes proposent des images de mondes poétiques empreintes d’une atmosphère énigmatique.

Historique

Au début du siècle, les nouvelles théories de Freud sur l’inconscient et l’analyse des rêves intéressent et fascinent nombre d’intellectuels. Cette nouvelle approche de la personnalité de l’individu et de l’être ouvre de nouvelles perspectives aux artistes qui voient à travers la création artistique une excellente manière d’explorer davantage ce monde mystérieux et intérieur qu’est le MOI.

Mais les surréalistes ne cherchent pas à interpréter les rêves ou l’inconscient. Ils les révèlent esthétiquement. C’est une sorte de matérialisation du rêve à travers la peinture. D’ailleurs, les artistes de ce mouvement tentent de se mettre en état de rêve pour créer. Leurs tableaux sont une expression du fonctionnement de la pensée.

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Yves Tanguy

Max Ernst propose des mondes étranges peuplés d’êtres hybrides fantastiques qui évoquent les représentations du passé médiéval de Jérôme Bosch ou des Riches Heures du Duc de Berry.

Magritte crée des images fortement symboliques, énigmes et de non-sens linguistiques. L’artiste semble s’amuser de jeux de mots ou jeux de sens en composant des images de mondes poétiques. C’est ainsi qu’il nous peint pas exemple le fameux tableau Ceci n’est pas une pipe (en effet, c’est la peinture d’une pipe), ou encore des visages sur lesquels se dessinent des nuages (on peut vraiment avoir la tête dans les nuages). Le style de ses tableaux est très net et a un caractère presque naïf comparéà celui de Dali.

En effet, la technique de Dali semble ancrée dans la pure tradition de la peinture de la Renaissance Italienne et du trompe l’oeil. La facture est extrêmement réaliste et les trompes l’oeil semblent si parfaits, que s’ils ne représentaient pas des images improbables, on croirait à leur réalité. Le rendu des textures est exceptionnel avec une précision incroyable dans le rendu tout en détails infimes des matières.

Si les images de Magritte peuvent parfois avoir un côté un peu naïf, fleur bleue (voir un peu mièvre à notre regard d’aujourd’hui), les œuvres de Dali sont beaucoup plus inquiétantes. Loin de l’aspect « premier degré» des images de Magritte, Dali nous ouvre des mondes plus complexes qui plongent vite le spectateur dans un abîme de pensées, un tourbillon de réflexions existentielles, voir presque métaphysiques. Autant le sens des tableaux de Magritte semble relativement accessible à notre compréhension, autant les images de rêve de Dali sont plus intrigantes et il leur garde soigneusement cet aspect énigmatique sans nous en donner la clef. C’est sans doute pourquoi on ne se lasse pas de les observer, comme si on cherchait continuellement à trouver une réponse ou un sens, là où il n’y en a peut-être pas (ce qui est d’ailleurs parfois possible étant donné l’esprit facétieux de l’artiste).

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Giorgio De Chirico

Le surréalisme va aussi développer un nouveau style d’expression qui est l’écriture automatique. En littérature, les poètes écrivent des textes incongrus avec des mots sortis tout droit de leur inconscient, tels quels, sans queue ni tête, sans recherche particulière de sens.

Henri Michaux n’est pas seulement le grand poète écrivain que l’on connaît. Il est aussi adepte d’expérimentations en touts genres. Il développe une recherche graphique très riche dans laquelle il tente de trouver l’expression la plus profonde de l’inconscient. Il n’hésite pas pour cela à faire l’usage de drogues, notamment le mescal.

En effet, sous l’emprise de ces stupéfiants, la maîtrise de la conscience s’efface et l’artiste peut alors laisser librement sa main s’exprimer à travers des « dessins automatiques ». C’est d’ailleurs ces fameuses expériences qui donneront naissance à toute une série de dessins mescaliniens. Les images ne représentent rien de particulier, si ce n’est l’expression de la vibration et les sensations intenses du corps et de l’esprit lors de ces expériences.

Les oeuvres surréalistes sont bien sur très personnelles et intimes puisqu’elles parlent du MOI intérieur. Cet aspect très personnel se développera plus tard d’une manière peut-être moins psychanalytique mais tout aussi introspective à travers certaines œuvres du Body Art, qui semblent  aussi parler du vécu intérieur propre à l’artiste. Si les performances ne cherchent pas nécessairement à montrer le fonctionnement de l’inconscient comme le surréalisme, elles prennent une forme d’ « art-thérapie ».

 

Adolf WÖLFLI

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Adolf Wölfli, né le 29février1864àBerne et décédé dans un asile de Berne le 6novembre1930 est un artistesuisse.

Son père, Jakob Wölfli, tailleur de pierre de profession, est alcoolique, devient malfaiteur et finit en prison. Adolf Wölfli prétend, dans sa biographie imaginaire, que ses parents ont eu sept fils dont il était le cadet. Sa mère Anna était probablement blanchisseuse.

En 1872, le père abandonne sa famille à peine installée àBerne où elle meurt de faim malgré le dévouement d'Anna. En octobre de la même année, après que tout, ou presque, ait été vendu aux enchères, la famille arrive àSchangnau, dans sa commune d'origine. L'assemblée communale, convoquée, place Adolf et sa mère chez un paysan, à Cherlishof, commune de Bumbach. Ils seront séparés en janvier 1873.

Il va de ferme en ferme où, témoin de beuveries et obligé lui-même de boire, il est parfois maltraité au point de manquer l'école. À neuf ans, il apprend la mort de sa mère. D'abord chevrier, il est valet de ferme à partir de 1880.

Après plusieurs tentatives de viol sur de très jeunes filles, il est emprisonné en 1890, puis, après une dernière récidive, il est déclaré irresponsable et interné en 1895à l'asile d'aliénés de la Waldau, près de Berne où il demeure jusqu'à sa mort.

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En 1899, il commence à dessiner, écrire et composer de la musique. Pendant trente ans, Adolf Wölfli accumule 1300 dessins, 44 cahiers où sont exposées ses nombreuses théories scientifiques et religieuses, au travers de longues emphases où les mots sont déformés ou créés, l'orthographe transformée, les voyelles et les consonnes doublées ou triplées pour accentuer le rythme des phrases, ainsi que sa biographie imaginaire de 25.000 pages, La Légende de Saint Adolf.

Son œuvre est conservée pour l'essentiel au musée des Beaux-Arts de Berne, où elle est mise en valeur par la Fondation Adolf Wölfli. Elle est également très bien représentée à la Collection de l'Art Brut de Lausanne, car elle est l'une des plus puissantes et des plus emblématiques de ce mouvement que Jean Dubuffet a tenté de définir comme étant l'Art brut. Son œuvre est conservée également au LaM de Villeneuve-d'Ascq.

D'après Wikipédia

 

ARTE POVERA

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L'Arte Povera (de l'italien : « art pauvre ») est un mouvement italien, qui, au départ de Turin et de Rome, est apparu sur la scène internationale dans les années 1960.

C'est une « attitude » (plutôt qu'un mouvement, terme que les artistes rejettent). Les artistes souhaitent défier l'industrie culturelle et plus largement la société de consommation, par une activité qui privilégie le processus, autrement dit le geste créateur au détriment de l’objet fini. Processus qui consiste aussi à rendre signifiants des objets insignifiants. Ils utilisent des produits pauvres (d'où son nom) : du sable, des chiffons, de la terre, du bois, du goudron, de la corde, toile de jute, des vêtements usés, etc. et les positionne comme des éléments artistiques de composition.

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Pino Pascali

C’est un art qui se veut foncièrement nomade, insaisissable.

Histoire

L'expression Arte Povera est utilisée pour la première fois en septembre 1967 par Germano Celant pour intituler une exposition présentée àGênes. Elle emprunte le terme « pauvre »à une pratique théâtrale expérimentale ; il faut ici comprendre cette pauvreté comme un détachement volontaire des acquis de la culture. L’artiste Giulio Paolini avait déjà parlé d’un « appauvrissement de l’art », sans doute en se référant à une poétique proche du minimalisme, mais Giovanni Lista souligne également la signification particulière de ce terme au sein de la culture italienne longtemps nourrie par le catholicisme de Saint François d’Assisse, qui prônait la pauvreté. Le terme a été aussi interprété dans un sens politique car les artistes d'Arte Povera ont adopté des positions radicales et marginales, proches dans la mentalité des mouvements de contestation de 1968.

Les douze premiers artistes estampillés Arte Povera sont : Giovanni Anselmo, Alighiero e Boetti, Pier Paolo Calzolari, Luciano Fabro, Jannis Kounellis, Mario Merz, Marisa Merz, Giulio Paolini, Pino Pascali, Giuseppe Penone, Michelangelo Pistoletto et Gilberto Zorio.

Les textes fondateurs de G. Celant dans les années 1960 ne sont guère explicites sur l'orientation conceptuelle ou plastique du groupe...

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Guiseppe Penone

On a souvent suggéré qu'il s'agissait d’utiliser des matériaux pauvres, comme des objets de rebut ou des éléments naturels (sable, chiffons, terre, bois, etc.). Mais de nombreuses œuvres réfutent cette interprétation en intégrant des matières plus sophistiquées comme le néon. La référence fréquente à la nature est plutôt à considérer comme un exemple de point d’appui anti-historique à partir duquel il est possible de critiquer le présent. Ainsi, les artistes de l'Arte Povera participent pleinement à la réflexion sur la dialectique entre la nature et la culture.

L'Arte Povera n'est pas un art d'accès facile : la conservation de certaines pièces nécessite une grande attention ; d'autres, qui se présentent sous la forme d'installations, ne peuvent évidemment prendre place que dans des intérieurs adaptés.

Cependant, les grandes institutions américaines et les collectionneurs commencent à s'intéresser de près à ce courant après l’avoir longtemps mis de côté.

D'après Wikipédia

 

ADOLF WÖLFLI - QUELQUES OEUVRES

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1908

1908

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1911

1915

1915

1917

1917

1920

1920

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1921

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1921

1924

1924

 

LITA CABELLUT

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Née le 24 octobre 1961 en Espagne, dans une famille gitane. Elle passe son enfance à Barcelone. A treize ans, elle visite le musée du Prado et, fascinée par la peinture espagnole et flamande, elle décide de prendre des cours. A dix-neuf ans, elle poursuit sa formation à la Tietveld Academy à Amsterdam, Pays-Bas.

Son oeuvre renvoie clairement à ses origines, mais elle porte aussi en elle toute la tradition hollandaise. Un bagage classique qui transparait dans ses portraits. La figure émerge ainsi de fonds obscurs dans des gammes chromatiques réduites qui permettent, couche par couche, de chercher la lumière désirée. Pourtant, le classicisme seul ne suffit pas à décrire les propositions de Lita Cabellut. La violence d’un Bacon, les matières et textures de Tapies ou encore l’apposition grossière et superficielle de couleurs tranchantes inscrivent Cabellut dans la modernité et même la contemporanéité.

De cette synthèse surgit un langage pictural propre servant son expression. La répétition lui permet de nuancer l’être. Par séries, centrées sur le groupe (prostituées, vagabonds,…) ou l’individu (Coco, Piaf, A table,…), elle représente, illustre, interprète, lit, intègre la nature humaine, à la fois une et multiple. Et malgré l’absence systématique de scénographie, chaque toile, au détour d’un regard, d’une boursouflure, une crispation ou une position, raconte l’intensité d’une réalité particulière, d’un état précis. Une grille que certains interprèteront à la lumière de l’histoire personnelle de Lita Cabellut, promenée jusqu’à l’âge de treize ans, entre Las Ramblas et El Raval, entre les artistes de rue, les prostituées et les dortoirs des orphelinats franquistes.

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d'après www.ozartsetc.com

 

 


LITA CABELLUT - QUELQUES OEUVRES

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Non daté - série Charlie Chaplin

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Non daté - série The secret behind the veil

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2008 - série Piaf

2010 don quichotte 2

2010 - Don Quichotte 2

2010 dulcinea 10

2010 - Dulcinea 10

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2010 - Frida 7

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2010 - Frida 17

2011 coco n7

2011 - Coco 7

2011 coco n12

2011 - Coco 12

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2012 - After the show 13

 

JOHN CHARLES DOLLMAN

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John Charles Dollman (6mai1851, Hove - 11décembre1934) était un peintre et illustrateurbritannique.

Son studio se situait àBedford Park, proche de la Royal Academy où il exposa des années 1870à1912. Il fut membre de la Royal Watercolour Society, du Royal Institute of Painters in Water Colours et du Royal Institute of Oil Painters.

Il a travaillé comme illustrateur pour différents magazines. L'un de ses thèmes favoris était la mythologie nordique.

Il est difficile de le classer mais ses scènes champêtres, urbaines ou animalières peuvent le rapprocher des naturalistes.

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D'après Wikipédia

REALISME

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En peinture, le réalisme est un mouvement artistique du XIXe siècle apparu en France entre 1848 et la fin du siècle, consacréà la société et plus généralement à une représentation fidèle de la vie quotidienne. Son chef de file est le peintre Gustave Courbet (1819-1877) qui emploie le terme en 1855. Mouvement spécifiquement français, il trouve des résonances en Europe, dans le costumbrismo espagnol, l'École de la Haye aux Pays-Bas, et le mouvement russe des Ambulants.

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1850 - Enterrement à Ornans (Gustave Courbet)

 

 

JOHN CHARLES DOLLMAN - QUELQUES OEUVRES

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Non daté - The immigrants' ship

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Non daté - The ravager

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Non daté - Tigres

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Non daté - Sans sitre

1879 table d'hote at a dog'shome

1879 - Table d'hôte at a dogs' home

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1900 - Shepherd at South Down Hills

1903 - mwgli made leader of the bandar log

1903 - Mowgli made leader of the Bandar Log

1909 chariot of the sun

1909 - Chariot of the sun

1912 the unknown

1912 - The unknown

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Non daté - The borrowed plume

 

ATUL DODIYA

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Atul Dodiya est né en 1959 à Mumbai (Inde).

Il a étudiéà la Sir J.J. School of Art de Mumbai, puis à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris, suite à une bourse accordée par le gouvernement français.

Il expose désormais en Inde, mais aussi aux Pays-Bas et en France.

Il vit et travaille à Mumbai avec son épouse Anju, également peintre.

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